Poilievre annonce la Loi sur la sécurité dans les hôpitaux, qui vise à tenir le crack, la méthamphétamine et les armes à l’écart des médecins, des infirmières et des patients.

Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef des conservateurs de gros bon sens du Canada, a annoncé aujourd’hui son plan visant à interdire les armes et les drogues dangereuses et à punir ceux qui font du mal aux médecins et aux infirmières. 

Le problème :

Après neuf ans, l’expérience radicale de décriminalisation des drogues dures menée par Justin Trudeau a échoué. Depuis que Trudeau est au pouvoir, plus de 42 000 Canadiens sont morts d’une surdose de drogue. Nanaimo, par exemple, a connu une augmentation de près de 400 % du nombre de décès par surdose au cours des quatre dernières années. Pourtant, Trudeau a décidé d’autoriser la consommation d’opioïdes, de cocaïne, d’héroïne et de méthamphétamine dans des lieux publics tels que les hôpitaux et les parcs.

Les résultats de cette expérience ont été catastrophiques. Le chaos et le désordre règnent librement dans les espaces publics de toute la Colombie-Britannique. Nos hôpitaux, autrefois sécuritaires, sont détruits par les criminels et les drogues dures. Le syndicat des infirmières de la Colombie-Britannique a sonné l’alarme, affirmant que les patients et le personnel ont été exposés à des drogues illégales nocives. Le syndicat des infirmières de la Colombie-Britannique a également signalé que de la méthamphétamine a été fumée dans une unité quelques heures seulement après la naissance d’un nouveau-né. Dans le nord de la Colombie-Britannique, l’agence de santé publique a publié une note de service demandant au personnel hospitalier d’autoriser les patients à apporter des couteaux et d’autres armes dans les hôpitaux.

La vie est devenue si misérable que le premier ministre provincial radical néo-démocrate de la Colombie-Britannique a demandé à Justin Trudeau de revenir sur certaines parties de sa politique de décriminalisation cinglée. Mais les libéraux n’ont pas tiré les leçons de leurs erreurs.

La cause:

Il y a deux ans, le gouvernement libéral a accepté la demande du gouvernement néo-démocrate de la Colombie-Britannique de décriminaliser les drogues dures dans toute la province, y compris dans les espaces publics. Au cours de la première année de cette expérience imprudente, 2 500 Canadiens sont morts à la suite d’une surdose de drogue. Pendant ce temps, des espaces communautaires tels que les terrains de soccer, les hôpitaux et les places publiques ont été dévastés par la criminalité et le désordre.

Justin Trudeau refuse toutefois d’écarter les demandes de Toronto Public Health et de la ville de Montréal d’autoriser les drogues dures dans les deux plus grandes villes du Canada. Il refuse également de dire si les drogues dures devraient être autorisées dans les parcs pour enfants, les hôpitaux et les transports publics. En outre, la ministre libérale de la Santé mentale refuse de reconnaître que leur dangereuse expérience a été un échec.

La solution : 

Les conservateurs de gros bon sens ne permettront pas que cette expérience dévastatrice se reproduise dans d’autres communautés canadiennes. Les Canadiens méritent un gouvernement qui empêchera les drogues dures d’entrer dans les hôpitaux et qui protégera le personnel et les patients. Nous nous engageons à : 

  1. Créer une circonstance aggravante aux fins de la détermination de la peine si un criminel détient une arme dans un hôpital.
  2. Mettre fin au pouvoir du ministre de la Santé d’accorder des exemptions en vertu de l’article 56 de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances si l’exemption permet aux gens d’utiliser des drogues illicites comme le fentanyl et la méthamphétamine dans les hôpitaux. Cela signifie que même si Trudeau accepte la demande de Toronto et de Montréal de décriminaliser les drogues dures, nos hôpitaux seront protégés.
  3. Adopter immédiatement le projet de loi C-321 du député conservateur de gros bon sens Todd Doherty, qui créera une circonstance aggravante pour les agressions commises contre des travailleurs de la santé ou des premiers intervenants.

Pour être clair, l’interdiction ne s’appliquerait pas aux médicaments prescrits par des professionnels de la santé tels que les médecins et les infirmières.

La Loi sur la sécurité dans les hôpitaux mettra fin à certaines des folies que Justin Trudeau et le NPD ont fait subir aux Canadiens avec leur plan de décriminalisation de l’usage public des drogues dures partout au Canada. Un gouvernement Poilievre interdira les drogues dures, cessera de distribuer des opioïdes financés par les contribuables et réinvestira cet argent dans le traitement et la guérison afin que nous puissions ramener nos proches à la maison sans drogue.

Poilievre a dit : 

« L’expérience de décriminalisation de Justin Trudeau a échoué. Elle a entraîné la mort, la misère et la destruction dans toute la Colombie-Britannique, tandis que nos infirmières, qui travaillent sans relâche, vivent dans la crainte d’inhaler des drogues dangereuses ou d’être attaquées par des criminels.  

« Au lieu de tirer les leçons de cette erreur catastrophique, Trudeau a doublé la mise. Il refuse de rejeter la demande de Toronto et de Montréal d’autoriser la consommation de drogues dures comme le fentanyl et l’héroïne dans les deux plus grandes villes du Canada.  

« Les conservateurs de gros bon sens assureront la sécurité des médecins, des infirmières et des patients, même si Justin Trudeau ne le fait pas. Les libéraux et les néo-démocrates doivent voter pour ce projet de loi de gros bon sens jusqu’à ce que nous puissions former un gouvernement qui mettra fin à cette expérience de décriminalisation des drogues dures mortelles pour de bon. »