Ottawa (Ontario) – Trudeau et son ministre radical de l’Environnement tentent d’imposer au Québec un mandat d’urgence visant à interdire les travaux forestiers et l’exploitation forestière. Cette mesure pourrait éliminer jusqu’à 30 000 emplois directs et indirects au Québec. Ce décret destructeur d’emplois est un autre exemple de l’intrusion du gouvernement libéral fédéral dans les champs de compétence du Québec.

Les conservateurs demandent des réunions d’urgence au Comité des ressources naturelles pour empêcher Trudeau et Guilbeault d’imposer un mandat destructeur d’emplois au Québec et d’envahir à nouveau les compétences du Québec. Steven Guilbeault doit être interrogé sur le nombre d’emplois que son décret fédéral supprimera et doit être sommé de produire l’analyse économique du gouvernement libéral qui résultera de cette politique. Le Comité doit également entendre les témoignages des travailleurs forestiers touchés, de l’industrie forestière et des sociétés d’exploitation forestière.

Le Bloc a le pouvoir d’organiser ces réunions d’urgence, mais il refuse de se mettre au travail et couvre Justin Trudeau. Pire encore, le député bloquiste au Comité des ressources naturelles, Mario Simard, qui représente une partie du Saguenay–Lac-St-Jean, la région qui risque de perdre le plus grand nombre d’emplois à cause de la dernière intrusion de Trudeau dans les compétences du Québec, refuse de demander des comptes au ministre radical de l’Environnement de Trudeau et de défendre les travailleurs forestiers. Ce député bloquiste est complice des libéraux de Trudeau qui mettent des milliers de travailleurs forestiers au chômage.

Les conservateurs de gros bon sens rejettent le décret destructeur d’emplois et l’intrusion de Trudeau dans les champs de compétence du Québec et travaillent pour y mettre fin. Le Bloc refuse de faire ce travail. Une fois de plus, ils démontrent leur coalition avec les libéraux de Trudeau et qu’ils appuient pleinement les politiques libérales radicales qui mettront les Québécois au chômage.