Ottawa (Ontario) — Après neuf ans sous Justin Trudeau, les villes canadiennes, autrefois sécuritaires, ont sombré dans la criminalité, le chaos, la drogue et le désordre. L’expérience du gouvernement libéral en matière de drogues dures financées par les contribuables a été un échec flagrant, mais les politiciens et les fonctionnaires du gouvernement Libéral-NPD refusent d’accepter ce fait évident.

Cela n’a jamais été aussi clair depuis que le National Post a rapporté que le gouvernement radical néo-démocrate de la Colombie-Britannique avait minimisé l’importance d’un document interne indiquant que le détournement d’opioïdes mortels serait une conséquence inévitable du programme de drogues dures du gouvernement Libéral-NPD financé par les contribuables. En fait, ce rapport, qui avait été commandé par la médecin en chef de la Colombie-Britannique, Bonnie Henry, affirmait que le programme de drogues dures Libéral-NPD financé par les contribuables était « presque aussi efficace que de donner de l’argent liquide [aux consommateurs de drogues] ». Le rapport confirme en outre que près de 90 millions de milligrammes d’hydromorphone, soit l’équivalent d’au moins 11 millions de comprimés, ont été distribués en une seule année. Cela équivaut à 30 % du total des analgésiques prescrits dans l’ensemble du pays.

En outre, le rapport cite également une source policière qui a déclaré que « chaque jour, nos agents observent des personnes qui vendent ouvertement des médicaments détournés ». Malgré ces preuves accablantes, le gouvernement néo-démocrate de la Colombie-Britannique a fait tout ce qu’il pouvait pour ne pas en parler.

Ce n’est pas la première fois que la coalition Libéral-NPD est avertie des conséquences désastreuses de son programme de drogues dures financé par les contribuables. En Colombie-Britannique, la police de Vancouver a déjà déclaré qu’environ 50 % de toutes les saisies d’hydromorphone avaient été détournées du programme de drogues dures de Trudeau, financé par les contribuables. Il s’agit d’un problème qui touche l’ensemble du pays, comme l’ont montré au début du mois les services de police régionaux de Waterloo et de Niagara, qui ont révélé que depuis 2019, les saisies d’hydromorphone avaient explosé de 1 090 % et de 1 577 % respectivement.

Cette expérience désastreuse doit être stoppée avant que d’autres vies ne soient perdues inutilement. C’est pourquoi les conservateurs de gros bon sens demandent le rappel du Comité de la santé de la Chambre des communes afin que le gouvernement Trudeau puisse répondre aux questions sur les résultats désastreux de ses politiques ratées et que ce rapport puisse être correctement étudié.

Seul un gouvernement conservateur cessera de distribuer des drogues dures financées par les contribuables, les interdira et investira dans le traitement et la récupération afin que nous puissions ramener nos proches à la maison sans drogue.