Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, la vie n’a jamais été aussi chère. La taxe carbone inflationniste des libéraux a fait grimper le coût de tout, forçant les familles à payer 700 dollars de plus pour la nourriture cette année qu’en 2023, tandis qu’un nombre record de Canadiens doivent faire la queue devant les banques alimentaires juste pour survivre.

Selon un rapport publié aujourd’hui par l’Institut Fraser, la taxe carbone de Trudeau s’est une nouvelle fois révélée n’être rien d’autre qu’une coûteuse escroquerie. Ce rapport indique clairement que la taxe carbone coûtera au travailleur canadien moyen 6 700 dollars d’ici 2030. Personne ne peut se permettre ça.

Pire encore, le même rapport montre que la taxe carbone de Trudeau entraînera une diminution de 164 000 emplois, ce qui signifie que les Canadiens auront moins de possibilités de toucher un salaire alors que le prix des denrées alimentaires et de l’essence augmentera. Elle réduira également le PIB du Canada de 6,2 % d’ici 2030.

Ce n’était pas le cas avant Justin Trudeau. Au lieu de soulager les Canadiens, Trudeau a décidé d’augmenter sa taxe carbone de 23 % en avril. Les libéraux ont justifié cette décision en affirmant que la taxe carbone améliorait en quelque sorte la situation des Canadiens, même si le directeur parlementaire du budget a affirmé le contraire.

Le directeur parlementaire du budget a été clair lorsqu’il a déclaré que la taxe carbone coûterait plus cher aux Canadiens qu’elle ne leur rapporterait en remises. Même les propres données du gouvernement, qu’il a essayé de cacher aux Canadiens, ont montré que la taxe carbone coûtera à l’économie canadienne 30,5 milliards de dollars par an d’ici 2030.

La taxe carbone de Trudeau n’a jamais été un plan environnemental. Il s’agit d’un plan fiscal qui oblige les travailleurs canadiens à payer pour les dépenses incontrôlées du gouvernement libéral. Seuls les conservateurs de gros bon sens mettront fin à cette taxe et ramèneront de plus gros chèques de paie aux travailleurs canadiens.