Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, la vie n’a jamais été aussi difficile pour les Canadiens. Le chômage et la misère économique augmentent, tandis que les chèques de paie diminuent. Les dépenses inflationnistes de Trudeau ont fait grimper les prix de l’épicerie, de l’essence et du chauffage. Ses hausses de taxes incessantes font fuir les entreprises, les emplois et les investissements de notre pays. 

L’annonce faite aujourd’hui par la Banque du Canada reflète l’état lamentable de notre économie. Sous Trudeau, le Canada a connu la pire croissance du revenu par personne depuis les années 30. Les familles doivent dépenser 700 dollars de plus pour l’épicerie cette année qu’en 2023, et des millions de personnes doivent faire la queue devant les banques alimentaires pour survivre, dont une personne sur dix à Toronto.

Au cours des deux dernières années, les dépenses inflationnistes insensées de Trudeau ont contraint la Banque du Canada à relever ses taux au rythme le plus rapide de l’histoire pour tenter de ralentir la Justinflation. Et malgré les nombreux avertissements des conservateurs de gros bon sens, selon lesquels les dépenses des libéraux maintenaient les taux d’intérêt à un niveau élevé plus longtemps, Trudeau a décidé d’ajouter 61 milliards de dollars de dépenses supplémentaires à l’incendie inflationniste dans son dernier budget. Cela coûtera 3 687 dollars de plus à la famille moyenne.

En 2021, Trudeau s’est vanté de ne pas « penser à la politique monétaire ». Cela n’a jamais été aussi évident pour les innombrables Canadiens qui paient aujourd’hui des milliers de dollars de plus sur leur hypothèque que si Trudeau avait décidé de maîtriser ses dépenses.

Après neuf années sous le gouvernement libéral, le Canada est aujourd’hui le pays de l’OCDE où l’inflation immobilière est la plus forte et où la croissance économique est l’une des plus faibles. L’investissement des entreprises par travailleur au Canada représente à peine la moitié de celui des États-Unis. Notre PIB par habitant est inférieur à ce qu’il était il y a cinq ans, alors que l’économie américaine est en hausse de 8 %. Et notre dette nationale a doublé. Pas plus tard que cette semaine, l’Institut Fraser a prévu que le Canada serait l’avant-dernier pays de l’OCDE en termes de croissance du PIB par habitant entre 2020 et 2030 et entre 2030 et 2060.

Conséquence directe de l’économie de misère créée par Trudeau, la Banque du Canada est une fois de plus intervenue pour tenter d’aider le gouvernement libéral. Mais cette réduction négligeable de 0,25 % des taux d’intérêt n’apportera aucun soulagement à la famille qui doit vendre sa maison ou à l’agriculteur qui n’a pas les moyens d’acheter du carburant pour son véhicule. 

Les Canadiens méritent un gouvernement qui mettra fin aux déficits inflationnistes et aux taxes de Trudeau qui maintiennent les taux d’intérêt à un niveau élevé. Seuls les conservateurs de gros bon sens pourront couper les taxes et les impôts, plafonner les dépenses, réparer le budget et faire baisser les prix pour tous les Canadiens.