Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, la vie n’a jamais été aussi chère. L’année dernière, les banques alimentaires ont dû faire face à 2 millions de visites en un seul mois, et un million de personnes supplémentaires sont attendues en 2024. Pendant ce temps, le coût du loyer a atteint des sommets records, retirant de plus en plus d’argent de la poche de chacun.

Cette misère a été à nouveau révélée aujourd’hui par le rapport nommé La pauvreté au Canada de Banques alimentaires Canada. Ce rapport montre que, sous Trudeau, la prévalence de la pauvreté a grimpé en flèche. En 2020, 6,4 % des Canadiens étaient considérés comme pauvres. Aujourd’hui, selon les chiffres les plus récents, le taux de pauvreté officiel a grimpé à 9,8 %.

Toutefois, selon ce dernier rapport, le nombre de Canadiens vivant dans la pauvreté est en réalité beaucoup plus élevé. Selon Banques alimentaires Canada, 25 % des Canadiens ont un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté. Ce chiffre passe à 30 % pour les Canadiens âgés de 18 à 30 ans, et à 44,5 % pour les ménages monoparentaux, tandis que 42 % des locataires n’ont pas les moyens d’acheter au moins deux produits de première nécessité.

Le rapport montre également que 21,7 % des Canadiens ne peuvent pas faire face à une dépense imprévue de plus de 500 dollars, tandis que 8,8 % des Canadiens ne peuvent pas payer leurs factures à temps. En outre, 7,2 % des Canadiens n’ont pas les moyens de chauffer ou de climatiser leur logement.

Pire encore, 23 % des Canadiens sont susceptibles de vivre dans la pauvreté en ayant un revenu d’emploi, ce qui signifie que même si les Canadiens travaillent fort, ils n’arrivent toujours pas à s’en sortir.

Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût. Seuls les conservateurs de gros bon sens ramèneront de plus gros chèques de paie pour tous les Canadiens.