Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, les postes vacants pour les Canadiens sont de moins en moins nombreux. C’est ce qu’a confirmé aujourd’hui Statistique Canada, qui a révélé que le nombre d’emplois salariés avait diminué de près de 23 000 en avril.

Alors que moins de Canadiens ont trouvé du travail, le nombre de postes vacants a également diminué pour le troisième mois consécutif. En avril, les offres d’emploi ont diminué de 32 000, alors que les hausses d’impôts de Trudeau, qui tuent l’emploi, continuent de faire fuir les investissements dans l’économie canadienne. Il s’agit du nombre le plus faible d’offres d’emploi depuis janvier 2021, alors que le Canada était en pleine pandémie.

En conséquence, il y a maintenant 2,3 chômeurs canadiens pour chaque poste vacant. Les jeunes Canadiens sont parmi les plus touchés. Comme l’a déclaré le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, dans un discours prononcé cette semaine, « étant donné le nombre plus limité de postes vacants, il faut plus de temps aux jeunes qui arrivent sur le marché du travail pour trouver un emploi. Le taux de chômage de ce groupe a donc augmenté. Il se situe maintenant à environ deux points de pourcentage au-dessus de la moyenne prépandémique ».

Justin Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût. Bien qu’il ait été averti que ses hausses de taxes nuisaient aux Canadiens, Trudeau a décidé d’augmenter les taxes sur les petites entreprises à un moment où l’emploi s’affaiblit et où les chèques de paie des Canadiens diminuent.

Seuls les conservateurs de gros bon sens ramèneront de plus gros chèques de paie en concevant une réduction d’impôt qui diminuera les impôts des travailleurs canadiens et de leurs entreprises.