Ottawa (Ontario) – Après huit années sous Justin Trudeau, la vie n’a jamais coûté aussi chère. En un seul mois l’année dernière, deux millions de visites ont été effectuées dans les banques alimentaires au Canada, et des groupes de « fouilleurs de poubelles » s’organisent dans nos villes parce que les gens n’ont pas les moyens de se nourrir, de se chauffer ou de se loger.  

Aujourd’hui, l’organisation caritative canadienne Deuxième récolte a révélé qu’il n’y aura pas de soulagement pour les Canadiens en 2024. Les organisations caritatives s’attendent à une augmentation de 18 % de la demande en 2024, ce qui signifie qu’un million de personnes supplémentaires devront faire appel aux banques alimentaires pour survivre.

En outre, 36 % des organisations à but non lucratif ont déclaré avoir dû refuser des personnes affamées dans leurs locaux parce qu’elles ne pouvaient tout simplement pas répondre à la demande. À Toronto, ce chiffre est passé à 50 %.

Rien qu’à Toronto, il y a eu 2,53 millions de visites de banques alimentaires entre avril 2022 et mars 2023, et une personne sur dix à Toronto a dû faire appel à des banques alimentaires, selon le rapport annuel Who’s Hungry de la Daily Bread Food Bank.

Les Canadiens se rendent dans les banques alimentaires en nombre record parce que les taxes et les dépenses inflationnistes de Trudeau font grimper le coût de tout. Son gouvernement libéral ne comprend pas que si l’on taxe l’agriculteur qui cultive les aliments et le camionneur qui les expédie, on finit par taxer le Canadien qui achète les aliments.

Seuls les conservateurs de gros bon sens feront baisser les prix en abolissant la taxe sur les produits d’épicerie.